MyLight150
MyLight150 propose une solution de gestion des pompes à chaleur au regard de l’état du marché électrique. En coupant la PAC au moment où l’électricité est la plus chère, MySmartHeating permet une économie garantie de 30 % par rapport à une installation standard.

1 / Pics de consommation

MyLight150 dispose d’une offre de stockage virtuel de l’électricité photovoltaïque, avec le statut de fournisseur d’électricité. Le même EMS (energy management system) est utilisé pour l’offre MySmartHeating. A partir des données du marché de gros de l’électricité, il anticipe les pics. La PAC est boostée, avant d’être interrompue pour deux heures.

2 / Thermostat

L’EMS dialogue avec un thermostat Netatmo, lui-même connecté à la pompe à chaleur. En cas de signal, le thermostat active ou coupe la pompe à chaleur. L’installation est aisée pour un installateur habitué à poser des thermostats. MyLight150 propose des documentations spécifiques pour les différentes PAC compatibles.

3 / PAC compatibles

L’offre fait l’objet d’un partenariat avec Atlantic, pour une distribution exclusive chez Rexel. Mais le système peut s’installer sur toute PAC compatible, c’est-à-dire smart grid ready et acceptant la régulation par un thermostat Netatmo. MyLight150 dialogue avec la plupart des fabricants pour s’assurer de la compatibilité de sa solution.

4 / Electricité

MyLight150 est fournisseur d’électricité. Pour bénéficier de l’offre MySmartHeating, le client final doit souscrire un contrat de fourniture d’électricité auprès de l’entreprise. Les tarifs sont simples : même niveau que le tarif réglementé pour l’ensemble des consommations, et engagement de baisse de 30 % de la consommation d’électricité pour la pompe à chaleur.

5 / Retour sur investissement

En fonction du niveau d’isolation du bâtiment et des besoins de chauffage, MySmartHeating affiche un retour sur investissement possible dès 5 ans. Mais surtout, la solution améliore la rentabilité de l’investissement dans une pompe à chaleur. Une question-clé à l’heure où les consommateurs boudent la PAC, notamment du fait des coûts en hausse de l’électricité.