Celui-ci prévoit d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050, une baisse de 40 % de la consommation d’énergies fossiles d’ici à 2030, contre 30 % précédemment, et la fermeture des dernières centrales à charbon en 2022. Il décale de 2025 à 2035 la réduction à 50 % de la part du nucléaire dans la production électrique.
Enfin, sur le sujet de discorde entre les deux chambres – les logements dits « passoires thermiques » – le texte prévoit un dispositif progressif de rénovation énergétique de ces logements
Le projet de loi doit encore faire l’objet d’une dernière lecture devant le Sénat le 26 septembre prochain pour être définitvement adopté par le Parlement. Quant au Gouvernement, celui-ci est attendu dans la préparation du budget 2020, et dans l’élaboration des décrets d’application, notamment pour la programmation pluriannuelle de l’énergie.