Des chercheurs du CNRS et de l'IPVF ont développé des cellules solaires mille fois plus fines que le silicium actuellement utilisé pour les cellules photovoltaïques et avec un rendement équivalent, autour de 20 %.
Pour conserver ce rendement, les chercheurs ont conçu un " piège " pour que la lumière reste plus longtemps dans la cellule, en étant réfléchie dans plusieurs angles et en faisant plusieurs allers-retours au sein de la cellule pour être totalement absorbée.
Ces cellules ultrafines, également très flexibles, permettraient une économie de matériaux et un coût de production moins élevé.