Sur Interclima, Testo parlera notamment de monoxyde de carbone. Une nécessité pour continuer à lutter contre ce gaz inodore, qui tue chaque année quelques dizaines de personnes, généralement du fait du mauvais entretien d'un appareil de chauffage. Le protocole du Centre natioanl d'expertise des professionnels de l'énergie gaz (CNPG) prévoit que les entreprises de maintenance devront, au plus tard le 1er janvier 2025, faire évoluer leur équipement de détection. Tous les appareils devront être précis et livrés étiquetés avec un constat de vérification. L'indicateur de CO 317-5, de Testo, répond à ces exigences. Il affiche une grande précision de mesure, et est équipé d'une cellule électrochimique non sensible au solvants. Il ne nécessite pas d'étalonnage, et alerte par un bruit et un visuel en cas de présence de CO à partir de 10 ppm, lors de la maintenance de la chaudière.