Un arrêté publié au Journal officiel le 14 octobre vient modifier la méthode de calcul et les modalités d'établissement du diagnostic de performance énergétique. Ce nouveau DPE, entré en vigueur le 1er juillet dernier, comportait des incohérences entre théorie et pratique, si bien que les diagnostiqueurs avaient noté une forte augmentation du nombre de logements qui se retrouvaient dans la classe F ou G, soit étant considérés comme des passoires thermiques.
L'arrêté corrigeant le nouveau diagnostic de performance énergétique revoit notamment le calcul du coût des énergies selon un tarif unique du kWh, à 0,09559 € pour le gaz et à 0,1893 € pour l’électricité.
Selon la fédération nationale des diagnostiqueurs immobiliers, un deuxième arrêté visant à repousser jusqu'au 31 mars prochain la période d'auto-évaluation des éditeurs de logiciels de calculs doit également bientôt paraître.